Said Abdallah Rifki, tomberait dans un piège

Par Ali Amir Ahmed

La deuxième personnalité religieuse de l’Etat, secrétaire général du Muftorat, Said Abdallah Rifki, tombe dans un piège. Il est pris en flagrant délit, dans une tentative de corruption du directeur de cabinet de l’intérieur. Il négocie et assite à la remise d'une enveloppe de deux millions pour obtenir du ministère une autorisation à un groupe commercial de la place (AGK) de rouvrir les débits de vente d’alcool. Rifki a été placé en garde à vue, et sera traduit en justice demain. Il y a des actes qui donne envie de vomir…

Par  la rédaction

La situation aux Comores a changé et cela ne semble surprendre personne. Il faut savoir que depuis un certain les moeurs commencent à changer d'une façon radicale et les populations n'ont plus  du tout froid aux yeux comme à la vieille  époque. L'adultère, la drogue, et la prostutution, pour ne citer que ceux-là, sont monnaies courantes dans cet archipel de l'Océan indien. La corruption existe certes depuis longtemps dans notre pays mais on pensais que,  il y aurait quand même une limite. En effet, ce qui s'est réellement passé, si ça se confirme, montrera à titre d'exemple que ce fléau est entrain de gangréner notre société. Le Mufti, c'est une des aurités supêmes en terme réligieux mais être corrompu en est une autre aurité de l'enfer . On attend  que la lumière et les circonsatnces soient élucidées mais ce qui est sûr, Rifki S M est homme comme les autres, comme le dit M Bossuet:  "Quel que soit ce que les hommes font leur néant leur parait partout".