La 184ème fin du monde supposée n’a pas eu lieu !

Toute chose a sa fin mais celle de bon monde n’est pas encore pour demain. Quel dommage, pour les adeptes de la fin du monde, de l’apocalypse qui n’ont toujours pas vu le moindre signe d’une fin de temps éternel se manifesté ! La terre ne s’est toujours pas arrêtée et elle continue, au contraire, sa révolution et la rotation au tour de son centre de gravité. Malheureusement, ah pardon, heureusement pour ceux qui se sont refugiés dans le village français de Bugarach, la nouvelle terre promise pour ceux qui croyaient l’apocalypse, que la catastrophe ne s’est pas produite. Que deviendraient –ils ces acolytes après avoir tout vendu et abandonné? Sont-ils fous ou idiots? Une chose est sûre : les bunkers construits par ces hommes et femmes, abris antiatomique qui devaient servir de refuge de cataclysme, seront réutilisés dans le domaine de la recherche et de la virologie. Tant pis pour les déséquilibrés mentaux qui croyaient à une mythologieaya, ah pardon,maya» qui n’as poudrant pas prévula fain du temps mais un changement cyclique de temps.

Tous ceux qui sont fatigués de notre univers, éprouvent des souffrances, et qui veulent mettre fin à leur jours, je les invite donc à s’informer davantage sur les différentes méthodes. Ils peuvent se suicider chez eux tranquillement en avalant des substances barbituriques en quantité suffisantes ou encore du polonium 210. Ils peuvent également se rendre au Japon dans les centrales nucléaires, car on a besoin des de beaucoup de monde et ils pourront bien respirer l’air pure de la centrale de «  Fukushima. »

Je ne remets ni en cause leurs moralité ni encore moins leurs connaissances mais, à vrai dire, ils ont raison. Pourquoi ? Parce que tout simple, ils ont le droit de penser librement conformément à la « déclaration universelle de droit de l’homme des Nations unies de 1948 dans son article : 19, qui indique que « tout individu a le droit de penser librement ce qu’il veut et de dire sans aucune crainte ce qu’il pense ». Il y a là aussi « la convention européenne de droit  de l’homme et des libertés fondamentales de 1950 de Rome» qui ne confère à toute personne la liberté de la parole et de la pensée, sans oublier au passage :   «  la déclaration de droit de l’homme et de citoyen  de 1793 Paris; la déclaration de l’indépendance de Philadelphie de 1776 ». MaisSigmund Freud qui était un médecin neurologue et psychanalyste a dit un jour que « chaque chose a ses limites, ses faiblisses et ses lacunes ».